Personned’autre dans la classe ne peut rĂ©aliser les tĂąches Ă  sa place sauf avec son accord. Inversement, le conseil peut dĂ©cider d’une suspension temporaire ou dĂ©finitive de l’attribution de cette responsabilitĂ©. A travers son mĂ©tier, l'Ă©lĂšve s'inscrit en tant que personne dans la classe : il devient une maille essentielle de la chaĂźne collective.
Enseignements Ă©lĂ©mentaire et secondaire VIE SCOLAIRECoopĂ©rative scolaireNOR MENE0800615C RLR 555-2 CIRCULAIRE N° 2008-095 DU 23-7-2008 MENDGESCO B2-3Texte adressĂ© aux rectrices et recteurs d’acadĂ©mie ; aux inspectrices et inspecteurs d’acadĂ©mie, directrices et directeurs des services dĂ©partementaux de l’éducation nationale ; aux chefs d’établissement ; aux directrices et directeurs d’école Les coopĂ©ratives scolaires occupent une place spĂ©cifique dans l’histoire de l’école. NĂ©es au lendemain de la PremiĂšre guerre mondiale, elles ont contribuĂ© Ă  son la plupart des Ă©coles primaires et un grand nombre d’établissements du second degrĂ©, d’établissements spĂ©cialisĂ©s ou d’IUFM, peuvent s’appuyer sur une coopĂ©rative scolaire pour dĂ©velopper leur action prĂ©sente circulaire, en clarifiant les rĂšgles de fonctionnement de ces structures associatives et en rappelant les principaux objectifs des activitĂ©s organisĂ©es en leur sein, doit permettre Ă  l’ensemble des partenaires concernĂ©s, en premier lieu les enseignants, de mieux apprĂ©hender le rĂŽle des coopĂ©ratives scolaires, dans la perspective d’une Ă©ducation des Ă©lĂšves Ă  la citoyennetĂ©. I - La rĂ©glementation et le fonctionnement des coopĂ©ratives scolaires A. Le cadre juridiqueLa coopĂ©rative scolaire est un regroupement d’adultes et d’élĂšves qui dĂ©cident de mettre en Ɠuvre un projet Ă©ducatif s’appuyant sur la pratique de la vie associative et coopĂ©rative. La crĂ©ation d’une association indĂ©pendante ou d’une section locale affiliĂ©e Ă  l’OCCE relĂšve du choix de ses coopĂ©ratives scolaires revĂȘtent deux formes juridiques distinctes - la coopĂ©rative scolaire constituĂ©e en association autonome, personne morale distincte de l’école ou de l’établissement scolaire, dispose de la capacitĂ© juridique, et doit se conformer aux dispositions de l’article 5 de la loi 1901 dĂ©clarations Ă  la PrĂ©fecture, tenue des registres lĂ©gaux, assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale... et Ă  toute autre disposition lĂ©gale concernant les associations de droit privĂ© dispositions fiscales notamment. Ayant son siĂšge dans l’école ou l’établissement et agissant durant le temps scolaire, dans le cadre d’une convention Ă©tablie avec l’inspection acadĂ©mique ou l’établissement, elle doit se conformer aux principes qui rĂ©gissent le fonctionnement du service public, notamment aux principes de laĂŻcitĂ© et de neutralitĂ©. Les dirigeants de la coopĂ©rative scolaire “loi 1901” assument l’entiĂšre responsabilitĂ© civile et/ou pĂ©nale des fautes commises dans son la coopĂ©rative scolaire affiliĂ©e Ă  l’Office Central de la CoopĂ©ration Ă  l’École OCCE est une section locale de l’association dĂ©partementale OCCE. La coopĂ©rative bĂ©nĂ©ficie du soutien de l’OCCE en matiĂšres Ă©ducative, pĂ©dagogique, juridique et comptable. L’OCCE assume la responsabilitĂ© du fonctionnement des coopĂ©ratives scolaires qui lui sont affiliĂ©es, en dehors des fautes lourdes et intentionnelles ou des infractions dont se seraient rendus responsables les mandataires reprĂ©sentants adultes des coopĂ©ratives scolaires. En contrepartie, elle exige du mandataire, de respecter les obligations que lui impose la dĂ©lĂ©gation de pouvoirs qu’il reçoit de l’association dĂ©partementale respect des statuts, versement de la cotisation, transmission du compte rendu d’activitĂ©s, du bilan financier de la coopĂ©rative.... B. Les principes qui doivent rĂ©gir le fonctionnement des coopĂ©ratives scolaires1. Participation et adhĂ©sion Compte tenu des objectifs Ă©ducatifs poursuivis par la coopĂ©rative scolaire, et du principe de solidaritĂ© qui anime son fonctionnement, la participation aux activitĂ©s de la coopĂ©rative scolaire est ouverte Ă  tous les Ă©lĂšves de l’école ou de l’établissement, qu’ils soient ou non adhĂ©rents. Par ailleurs, les statuts de l’association dĂ©finissent les conditions d’adhĂ©sion Ă  l’association. 2. Financement des coopĂ©ratives scolaires La coopĂ©rative scolaire est dotĂ©e d’un budget propre destinĂ© Ă  financer principalement des projets Ă©ducatifs coopĂ©ratifs ou des actions de solidaritĂ©. Ses ressources proviennent notamment du produit de ses activitĂ©s fĂȘte d’école, kermesse, spectacle... de don et subventions, ainsi que de la cotisation de ses membres. La coopĂ©rative scolaire ne doit en aucun cas se substituer aux obligations des collectivitĂ©s territoriales concernant les charges d’entretien et de fonctionnement des Ă©coles et des Ă©tablissements publics, de mĂȘme qu’elle ne peut gĂ©rer, pour le compte de la commune, du dĂ©partement ou de la rĂ©gion des crĂ©dits qui lui seraient dĂ©lĂ©guĂ©s pour financer des dĂ©penses de fonctionnement. 3. Gestion, transparence et informationQue la coopĂ©rative scolaire soit autonome ou affiliĂ©e Ă  l’OCCE, il est souhaitable que les parents d’élĂšves soient associĂ©s aux dĂ©cisions la concernant et Ă  la mise en Ɠuvre de ses activitĂ©s. Les comptes rendus d’activitĂ©s et financiers seront communiquĂ©s lors des conseils d’école ou des conseils d’administration. Les coopĂ©ratives scolaires autonomes, se doivent, conformĂ©ment Ă  la loi de 1901 sur les associations, de tenir une assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale annuelle. II - Les coopĂ©ratives scolaires un instrument d’éducation Ă  la citoyennetĂ©Les projets dĂ©veloppĂ©s au sein des coopĂ©ratives scolaires, de classe, d’école ou d’établissement, visent Ă  renforcer l’esprit d’initiative, de coopĂ©ration et d’entraide. Ils sont un des supports pĂ©dagogiques les mieux adaptĂ©s Ă  la poursuite des objectifs du socle commun des connaissances et compĂ©tences principalement dans le domaine des compĂ©tences sociales et civiques ainsi que dans celui de l’autonomie et de l’ Projets coopĂ©ratifs de classe, d’école ou d’établissementEn complĂ©ment des programmes et en rĂ©fĂ©rence Ă  la septiĂšme compĂ©tence du socle commun de connaissances et de compĂ©tences “l’autonomie et l’initiative”, les projets coopĂ©ratifs s’inscrivent en cohĂ©rence avec les projets d’école ou d’établissement. Ils doivent permettre la participation effective de tous les Ă©lĂšves Ă  chaque Ă©tape de leur rĂ©alisation. La gestion financiĂšre ne reprĂ©sente pas le seul objectif Ă©ducatif des projets coopĂ©ratifs. Elle constitue cependant un Ă©lĂ©ment important de l’apprentissage de la vie associative et Ă©conomique et de la formation de citoyens responsables. B. Participation des Ă©lĂšves au fonctionnement de la coopĂ©rativeTous les Ă©lĂšves de l’école ou de l’établissement peuvent ĂȘtre membres actifs de la coopĂ©rative. Il serait souhaitable qu’ils participent Ă  son fonctionnement et exercent des responsabilitĂ©s au sein de son bureau en fonction de leur Ăąge et de leur degrĂ© de maturitĂ©. Le suivi de l’activitĂ© de la coopĂ©rative scolaire peut s’effectuer dans le cadre - d’un conseil de coopĂ©rative de classe, qui rĂ©unit rĂ©guliĂšrement les Ă©lĂšves de la classe et l’les enseignants pour la mise en Ɠuvre des projets coopĂ©ratifs. Il peut s’adjoindre les partenaires de la communautĂ© Ă©ducative. - d’un conseil de coopĂ©rative d’école ou d’établissement, qui regroupe les reprĂ©sentants des enseignants, les dĂ©lĂ©guĂ©s des conseils de coopĂ©rative des classes et Ă©ventuellement des partenaires de la communautĂ© prĂ©sente circulaire abroge la circulaire du 10 fĂ©vrier 1948 relative aux coopĂ©ratives scolaires, la circulaire du 16 avril 1951 relative aux coopĂ©ratives scolaires dans les Ă©tablissements du second degrĂ© et la circulaire du 12 dĂ©cembre 1962 relative Ă  la coopĂ©ration scolaire. Pour le ministre de l’éducation nationale et par dĂ©lĂ©gation, Le directeur gĂ©nĂ©ral de l’enseignement scolaireJean Louis NEMBRINI haut de page
Larecherche de financements avec les Ă©lĂšves a une haute valeur Ă©ducative La participation financiĂšre quand elle est demandĂ©e aux familles ne peut ĂȘtre que volontaire et modique. L’affiliation de la coopĂ©rative Ă  l’OCCE tĂ©moigne de la part des enseignants d’une volontĂ© Ă©ducative ambitieuse et de l’adhĂ©sion Ă  son projet. Document complet en tĂ©lĂ©chargement sur
Leprincipe des coopĂ©ratives alimentaires est toujours le mĂȘme : pour faire ses courses dans ces supermarchĂ©s d’un nouveau genre et devenir coopĂ©rateur-gestionnaire, chaque personne doit acheter au moins 10 parts de la coopĂ©rative, ce qui reprĂ©sente un investissement de 100 euros. Pour les coopĂ©rateurs touchant les minima sociaux, l’investissement obligatoire

lacoopĂ©rative centrale.) Souscrire un contrat ou un crĂ©-dit Acheter du matĂ©riel de gros Ă©quipement. (ordinateur, tablettes numĂ©riques, TNI qui relĂšvent du budget d’équipement mairie), ( ap-pareil photo, matĂ©riel audio qui peu-vent ĂȘtre achetĂ©s par la coopĂ©rative centrale dans le cadre d’un projet coopĂ©ratif et inscrits au

Coopérativescolaire : ce qui est permis, ce qui est interdit. Légal Les rÚglements financiers ne peuvent concerner que ceux visés par l'article du rÚglement intérieur déterminant les buts ou objets de la coopérative et ce, dans le cadre des statuts de
Quepeut-on acheter avec la coopérative scolaire ? ICI. Vous avez des bons plans pour remplir la caisse de votre coopérative de classe ? Partagez les en commentaires ! Autres articles sur la rentrée scolaire ICI . Commentaires. 1. cathy Samedi 3 Septembre 2016 à 17:19 Merci. Répondre. Ajouter un commentaire. Nom / Pseudo : E-mail (facultatif) : Site Web (facultatif) :
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