Biographie Né le 15 août 1769 à Ajaccio (Corse), Louis Napoléon Bonaparte est le 2ème fils de Carlo Maria Buonoparte et de Letizia Ramolino. Son père, avocat au conseil supérieur de Corse, le reconnaît noble en 1771, assesseur de la juridiction royale des provinces et de la ville d'Ajaccio.

Napoléon est mort à Sainte-Hélène, Son fils Léon lui a crevé le bidon. On l'a retrouvé, assis sur une baleine, En train de ronger les fils de son caleçon.“

Pourtantà St-Hélène au moment de sa mort en mai 1821 , Napoléon dira : < je meurs dans la Religion apostolique et romaine dans le sein de laquelle je suis né >.Il ordonna à l’abbé Vignali : lorsque je serai à l ’agonie vous ferez dresser un autel , vous exposerez le Saint -Sacrement et vous direz les prières des agonisants .
Le 5 mai 1821 sur l'île de Sainte Hélène, Napoléon Bonaparte rend son dernier souffle à l'âge de 51 ans. Avec sa mort, Napoléon rend à Dieu le plus puissant souffle de vie qui jamais anima l’argile humaine » pour reprendre une phrase de Châteaubriand. Cette triste fin termine une longue agonie, commencée au lendemain de Waterloo, et dont le caractère irrémédiable s’est accentué au fur et à mesure que le temps s’est écoulé, sur l’île inhospitalière où les Anglais ont relégué l’ancien Empereur des Français auquel ils n’accordent pas d’autre titre que celui de général Bonaparte déjà d’ailleurs suffisamment élogieux. Retraçons les dernières semaines de sa vie à Sainte-Hélène, si fertile en événements, et voyons de quoi est-il mort et quels ont été ses derniers mots. Malade, Napoléon fait son testament Le 15 mars, Napoléon est indisposé, après avoir bu de l'eau d'une source à laquelle il était pourtant accoutumé. Il mange peu et passe l'après-midi sur son lit de camp. Le 16, il ne sort pas. Le 17, il se lève mais est contraint de se recoucher en milieu de journée. Le docteur Antomarchi est appelé et le soigne jusqu'au 31. Pendant tout ce temps, il reste alité. De début avril au 5 main, il est soigné conjointement par Antomarchi et le médecin anglais Arnott. Depuis le départ du médecin anglais O'Meara, qui lui était affecté avant d'être éloigné par Hudson Lowe, le gouverneur de Sainte-Hélène, Napoléon refusait le secours des médecins britanniques dont il se méfiait les soupçonnant d'être des espions du gouverneur, son ennemi personnel. En avril 1821, cependant, il accepte les soins du docteur Archibald Arnott, médecin et ami de la famille Bertrand, qui fréquente assidûment Longwood, où ses conversations sont prisées. La santé de l'Empereur s'est alors sensiblement aggravée et Hudson Lowe, qui a longtemps cru à une maladie imaginaire, commence à s'inquiéter. Arnold, attaché au 20ème régiment anglais, traite Napoléon, conjointement avec Antomarchi, jusqu'à sa mort. Napoléon reçoit les visites quotidiennes des deux médecins mais refuse leurs médicaments, les estimant inutiles. Pendant le mois qui précède sa mort, il décrit souvent sa maladie aux personnes présentes en pensant à l'intérêt pour son fils d'en être instruit. A partir du 10 au 12 avril, il met ses affaires en ordre avec l'aide de son entourage. Il revient à plusieurs reprises sur son testament, auquel il ajoute plusieurs codicilles, faisant preuve jusqu'au bout d'une mémoire prodigieuse en n'oubliant aucune de toutes les personnes, éminentes ou obscures, envers lesquelles il se sent redevable. Il désigne les comtes Bertrand, Montholon et Marchand comme ses exécuteurs testamentaires, ce qui autorisera Marchand à revendiquer ultérieurement ce titre de noblesse. Le 15 avril, il fait don à Arnott d'une tabatière sur laquelle il a gravé un N avec son canif. Quelques jours avant de mourir, il fait placer le buste de son fils au pied de son lit. Le 1er mai, on pense que la maladie pourrait connaître rapidement une fin funeste. Le mercredi 2, cette prévision se confirme. Le 3, la situation du malade paraît désespérée. Le docteur Shorst, médecin en chef, et le docteur Mitchell, premier médecin des forces navales, sont appelés en consultation par Antomarchi, mais ils ne sont pas autorisés à voir le patient. Le vendredi 4 mai, on observe un léger mieux qui permet au malade de prendre quelques rafraîchissements. Tout le jour, des signaux sont échangés pour transmettre, de 2 heures en 2 heures, l'état du sujet que l’on estime déjà moribond. Les derniers mots et la mort de Napoléon Ier Dans la nuit du 4 au 5 mai, vers 3 heures du matin, Napoléon perd connaissance. Deux heures plus tard, les extrémités sont froides, le pouls devient imperceptible. L'amiral britannique et le marquis de Montchenu, représentant la France à Sainte-Hélène, se rendent à Longwood pour être témoins de la mort de l'illustre captif. Ce dernier prononce des mots entrecoupés de silences "Mon Dieu! Et la nation française! Mon fils! Tête armée!", vers 7 heures du matin. Ce sont ses dernières paroles. Il meurt le samedi 5 mai 1821, à 17 heures cinquante d'autres disent à 17 heures trente, sous les yeux du docteur Arnott. Le capitaine Crockat, officier de service, et les docteurs Shorst et Mitchell, voient le corps un peu plus tard. Arnott passe la nuit dans la chambre mortuaire. L'Empereur disparu a l'air de dormir. Amaigri par la maladie, il semble avoir rajeuni. Sa figure est calme et reposée. Il s'en dégage un air de noblesse qui frappe les visiteurs. Des dessinateurs improvisés tentent de fixer son profil pour la postérité. Le climat de l'île ne tardera pas à altérer les traits. Le dimanche 6 mai, vers 7 heures du matin, Hudson Lowe, l'amiral Lambert, commandant de la station navale, le marquis de Montchenu, le brigadier-général Coffin, commandant en second, MM Thomas L. Brooze et Thomas Greentree, membres du conseil de gouvernement de l'île et les capitaines Brown Hendry et Marryall, de la marine britannique, viennent constater le trépas du prisonnier avant de se retirer. Le capitaine Marryall dessine le portrait du défunt à la demande d'Hudson Lowe, avec l'accord du comte Montholon et du grand maréchal Bertrand. Hudson Lowe manifeste une certaine émotion. Plusieurs personnes, tant françaises qu'anglaises, défilent devant le cadavre de Napoléon pour lui rendre un dernier hommage. A 2 heures de l'après-midi, l' autopsie du corps a lieu en présence des docteurs Shorst, Arnott, Burton, du 66ème régiment anglais, Matthew-Livingstone, médecin de la Compagnie des Indes ; c’est Antomarchi qui officie ; Bertrand et Montholon sont présents à l'opération. L'autopsie révèle un intestin, un foie et des poumons normaux, un cœur sain mais enveloppé de graisse, un rein retourné, et surtout un estomac très mal en point, rongé par de profondes ulcérations et présentant des parties squirreuses ; la cavité stomacale contient une substance ressemblant à du marc de café. Des adhérences, causées par la maladie, affectent les surfaces de l'estomac et du foie. On pense à un ulcère gastrique ou à un cancer de l'estomac. Arnott est désigné comme gardien de la dépouille et des deux vases renfermant le cœur et l’estomac de l’Empereur jusqu’à sa mise au tombeau. Napoléon est ensuite revêtu d'un uniforme vert à parements rouges, qu'il mettait souvent, sur lequel on épingle toutes ses décorations. Sa dépouille est ensuite placée sur le petit lit de camp en fer qu'il utilisait au cours de ses campagnes, avec un crucifix d'argent sur la poitrine, et, sur le corps, le manteau de drap bleu brodé d'argent qu'il portait à Marengo. Dans la chambre, drapée de noir, l'abbé Vignali procède au service religieux funèbre, en présence des proches du défunt et de sa domesticité. Puis le corps reste exposé pendant deux jours au cours desquels une foule immense vient lui rendre un dernier hommage. Des funérailles... de général Le 8 mai, on l’embaume puis on l'enferme dans trois cercueils un en fer-blanc, matelassé de satin blanc, un second en acajou et un troisième en plomb. Un quatrième, en acajou, qui devait renfermer les trois premiers, ne parvient que le lendemain matin. L'enterrement se déroule le 9 mai avec tout l'apparat réservé aux généraux de haut rang, mais pas aux chefs d'Etat, titre que l'Angleterre refuse de reconnaître. Le cercueil gigogne repose sur une voiture tirée par quatre chevaux. Douze grenadiers le portent lorsque le chemin cesse d'être carrossable. Les coins du drap mortuaire, lequel n'est autre que le manteau de Marengo, sont tenus par Montholon et Bertrand. Des officiers et administrateurs britanniques ainsi que le marquis de Montchenu figurent dans l'assistance. Trois mille soldats anglais, qui ont accueilli le convoi à sa sortie de Longwood, suivent le cortège, lequel chemine entre deux haies de musiciens. Onze salves d'artillerie sont tirées pendant la cérémonie. Le corps de l'homme qui fit trembler l’Europe repose désormais dans un humble caveau aménagé auprès d'une source, sous deux saules, dans un petit vallon romantique de Sainte-Hélène, à l’emplacement qu'il avait lui-même choisi, sur une petite île isolée au milieu de l'Océan, faute de pouvoir être enterré au milieu du peuple français qu’il avait tant aimé ». Comme ce lieu est inaccessible, les pionniers anglais ont tracé une route en urgence, sans pouvoir toutefois l'aplanir pour la rendre accessible aux voitures jusqu’au bout, ainsi qu'on l'a dit plus haut. Lorsque Rapp apprend la mort de Napoléon, aux Tuileries, au milieu d’un aréopage enfin soulagé, il cache difficilement l’émotion qui l’étreint. Alors Louis XVIII, qui ne perd pas cette occasion de montrer sa désapprobation aux ultras, l’engage ostensiblement à ne pas retenir ses larmes en ajoutant qu’il ne l’en estimera que davantage. Deux masques mortuaires du visage de l'Empereur ont été confectionnés, le premier par le docteur anglais Arnott, 6 heures après la mort, à l'aide d'un négatif en cire de chandelle, le second par le docteur anglais Burton et le médecin français Antomarchi, 40 à 46 heures après le décès; ce délai s'explique par la difficulté de trouver du plâtre sur l’île, la mauvaise qualité du gypse découvert par Burton rendant d'autre part la tentative hasardeuse. Le premier masque, pris en cachette par son auteur, présente un visage calme, plongé dans un sommeil paisible. Le second présente au contraire un visage aux traits creusés, déjà marqué par la décomposition des tissus. L'authenticité de ces deux masques est contestée, celle du premier d'abord parce que l'on peut légitimement douter de la possibilité d'un tel travail à l'insu des proches de l'Empereur, en second lieu parce que la cire employée pour la prise de l’empreinte ne permettait par une reproduction parfaite des traits et enfin parce que son existence fut trop longtemps tenue secrète ; celle du second parce qu'on le soupçonne d'avoir été trafiqué, une petite partie seulement du visage ayant été moulée et le reste ayant été reconstitué. Il semble donc que ni l'un ni l'autre de ces masques ne donne une image réelle du visage de l'Empereur sur son lit de mort. A défaut, il faut se contenter du dessin de Marryall, tenu pour fidèle par les témoins, même si le masque d'Antomarchi bénéficie d'une estampille officielle. De quoi est mort Napoléon ? La mort de l'Empereur a été attribuée, on l'a vu, à un ulcère de l'estomac ou à un cancer, lors de son autopsie, hésitation compréhensible puisque les deux maladies n’étaient pas clairement distinguées avant 1830. Ce diagnostic a depuis été révoqué en doute par le dentiste suédois Forshufvud qui soutient la thèse d'un empoisonnement à l'arsenic étayé par les symptômes d'évolution de la maladie et par la forte teneur en arsenic des cheveux de l'Empereur. Cette thèse, défendue aussi par Ben Weider, homme d'affaires québécois, disparu en 2008, a fait couler beaucoup d'encre. Si assassinat il y a eu, il faut désigner un assassin et trouver un mobile. Parmi les proches de l'exilé, le comte de Montholon semble être le coupable idéal puisque c'est lui qui préparait le vin bu par Napoléon. Pour ce qui concerne le mobile, on hésite entre trois possibilités 1°- le service de Louis XVIII, dans l’attente d’une récompense suffisante pour rétablir une fortune compromise une fois la mission accomplie ; 2°- la jalousie, Albine de Montholon ayant été la maîtresse de l'Empereur à Sainte-Hélène ; 3°- le service de Napoléon lui-même. Cet ingénieux échafaudage ne résiste pas à un examen sérieux. Montholon peut espérer davantage de la gratitude de Napoléon que de celle d'un roi de France bien éloigné. Albine a effectivement été la maîtresse de l'Empereur déchu; elle a même écrit un roman inspiré du sujet et l'aventure est assez notoire pour que Hitler ait envisagé, pendant l'occupation, de ramener la dépouille mortelle de la comtesse de Montholon aux Invalides après avoir rapproché l'Aiglon de son père; mais Montholon connaissait parfaitement la galanterie de son épouse et l’acceptait en noble d'Ancien Régime pour qui une entorse à la fidélité conjugale ne revêtait pas l’importance qu’on lui accorde aujourd’hui. Enfin, il est vrai que Napoléon pouvait espérer son rapatriement d'une maladie simulée, grâce à une absorption d'arsenic soigneusement dosée, et il est non moins exact que l'arsenic, conjugué aux médicaments administrés au patient vers la fin de sa vie, était de nature à précipiter une issue fatale qui aurait alors était accidentelle et non préméditée, mais tout cela reste à prouver. La présence massive d'arsenic dans les cheveux du défunt, vérifiée à plusieurs reprises, est incontestable, mais elle ne constitue plus un argument irréfutable depuis que d'autres mesures ont prouvé qu'on en retrouve autant dans les cheveux d'autres personnes qui vécurent en même temps que lui. Les habitudes de vie de cette époque n'étaient pas les nôtres et il est probable que les gens qui vivaient sous l'Empire étaient en contact avec des concentrations d'arsenic qui nous sembleraient aujourd'hui excessives. En réalité, plusieurs éléments militent en faveur de la thèse de l’ulcère à l'estomac ou du cancer d'abord, l'hérédité, le père de Napoléon étant mort à peu près au même âge et dans des conditions voisines, ensuite les habitudes de vie de l'Empereur, personne à l'activité débordante, toujours sur les nerfs, et qui se contentait de repas irréguliers, trop rapidement absorbés et mal mâchés, enfin les conditions de sa détention à Sainte-Hélène, sous un climat tropical, chaud et humide, dans une ancienne exploitation agricole grouillante de rats, sur un plateau à peu près dénudé battu par les vents. Napoléon, habitué à parcourir l'Europe à cheval, en était réduit à se promener dans un espace étroitement circonscrit, sous la surveillance constante de ses gardiens. Son activité physique se bornait souvent à un peu de jardinage. Pendant de longues périodes, pour ne pas être vus par ses geôliers et les inquiéter par l’éventualité d’une impossible fuite, il se tenait enfermé dans sa maison. Un tel comportement avait largement de quoi accélérer la fin d'une vie devenue pesante depuis sa déportation. Le gouvernement anglais avait bien prévu d'améliorer les conditions d'existence du proscrit. Mais la demeure décente qu’il envisageait d’édifier ne devait pas dépasser l’état de projet. Au lieu de Longwood, la résidence de Napoléon aurait pu être établie dans un endroit de l’île plus verdoyant et plus sain, par exemple à Plantation House, mais il aurait alors fallu loger le gouverneur ailleurs. Qui repose sous le dôme des invalides ? Un autre problème a été soulevé est-ce bien le corps de Napoléon qui a été rendu par les Britanniques en 1840 et qui dort de son dernier sommeil sous le dôme des Invalides? Non, répond de manière péremptoire, Rétif de la Bretonne, c'est celui de Cipriani, majordome de l’Empereur exilé, mort en 1818, thèse reprise par Bruno Roy-Henry. A l’appui de leur théorie, ces deux auteurs font état des divergences entre les témoins des derniers instants de la vie de l'Empereur et ceux qui procédèrent à son exhumation avant son retour en France. Cependant, des erreurs de détails sont toujours possibles dans une narration et ces erreurs ne constituent pas une preuve suffisante pour nier une opinion admise par le plus grand nombre alors qu’aucune des personnes présentes à l'ouverture des cercueils de l'Empereur n'a jamais mis en doute son identité. Du reste, comme le remarque justement Jean Tulard, une expertise génétique couperait court à ces rumeurs. Près de deux siècles après sa mort, l'ombre de l'Empereur soulève encore des polémiques. Ne confondons pas l'histoire avec le roman et bornons-nous aux faits avérés sans les solliciter au profit d’hypothèses douteuses propres tout au plus à exciter l’imagination des amateurs de sensationnel. Une chose est à peu près sûre la mort de l'Empereur sur le rocher stérile de Sainte-Hélène en a fait un martyr. Cette conclusion tragique à une vie prodigieuse a grandement contribué à forger sa légende. En le faisant périr ainsi misérablement, les dirigeants anglais de l’époque nous ont certainement offert en cadeau » le règne de Napoléon III. L'amour de la gloire ressemble à ce pont que Satan jette sur le chaos, pour passer de l'enfer au paradis. » Napoléon à Sainte-Hélène. Bibliographie - La mort de Napoléon, de Thierry Lentz et Jacques Macé. Tempus, 2012. - Napoléon face à la mort, de Alain Frerejean. L'Archipel, 2021. - Napoléon L'énigme de l'exhumé de Sainte-Hélène de Bruno Roy-Henry. L'archipel, 2003 Napoléonou Jésus. Dans Mémoires d’outre-tombe Chateaubriand écrit au sujet de Napoléon « Vivant, il a manqué le monde, mort, il le possède ».Pour l’auteur de ces mots, Napoléon n’a jamais été aussi vivant que depuis qu’il est mort. La remarque surprend d’autant plus que le vicomte, partisan royaliste est opposé à l’empire.
Mort à Saint Hélène le 5 mai 1821 l’empereur déchu termine ce jour là son exil terrestre de 5 ans et 10 mois. Il ne semble pas avoir eu d’assistance spirituelle durant ces années. Comme le note Madame Claire de Rémusat dans ses Mémoires il donnait trop d’attention à ce qui se passait dans ce monde pour s’occuper beaucoup de l’autre » l’immortalité de son nom lui paraissait d’une bien autre importance que celle de son âme ». Tome II page 309. L’exploration de ces Mémoires est passionnante et dépeint certains aspects de Buonaparte devenu Napoléon. Lisons quelques exraits L’Empereur au moment de sa grande puissance demandait à des personnes de son entourage ce qu’on dirait de lui après sa mort » ; chacun s’empresse à un compliment ou à une flatterie. Comment vous êtes embarrassés pour savoir ce qu’on dira ? On dira Ouf ! ». Il répétait qu’un de ses oncles lui avait dit, enfant, qu’il gouvernerait le monde parce qu’il avait coutume de toujours mentir ». Napoléon se confiant à Talleyrand Je suis lâche, non, essentiellement lâche ; je vous donne ma parole que je n’éprouverais aucune répugnance à commettre ce qu’ils appellent dans le monde un acte déshonorant » Tome I page 108. Talleyrand à Madame de Rémusat à propos de Napoléon Ce diable d’homme trompe sur tous les points. Ses passions mêmes vous échappent ; car il trouve moyen de les feindre quoiqu’elles existent réellement ». Rémusat fut appelé à dresser un plan de l’entourage du tout frais Empereur ; ce plan fut jugé par ce dernier trop simple alors qu’il n’était que sage et mesuré il n’y a pas là assez de pompe, tout cela ne jetterait pas assez de poudre aux yeux » ! Protocole, titres de noblesse, décorations, vaisselles, bijoux etc.. L’établissement de l’Empire parut douteux jusqu’à la bataille d’Austerlitz 2 décembre 1805 ; alors la servitude fut dorée et parut acceptable et l’on vendit la liberté au prix de la gloire ». Aux artistes, aux orateurs, aux musiciens, aux poètes, aux peintres Ne citez que moi, ne chantez, ne louez, ne peignez que moi ; je vous achèterai ce que vous voudrez mais il faut que vous soyez tous vendus ». Page 349 Tome I, Madame de Rémusat parle d’assassinat à propos de la mort de Pichegru qui se serait auto-strangulé. Et cite Talleyrand à propos de cette mort "Qu’elle est arrivée bien subitement et bien à point " Tome I page 349. L’Empereur n’aimait aucun de ses maréchaux. Il disait assez volontiers du mal d’eux et quelque fois du mal assez grave. Il les accusait tous d’une grande avidité qu’il entretenait à dessein par des largesses infinies "Davout est un homme à qui je puis donner de la gloire, il ne saura jamais la porter "Tome II page 370. Son appréciation des femmes est intéressante Il faut que les femmes ne soient rien à ma Cour ; elles ne m’aimeront point mais j’y gagnerai du repos ». Il tint parole. Nous ornions ses fêtes, c’était à peu près notre seul emploi Tome II page 372. Madame de Rémusat, née Claire Elisabeth de Vergennes, est la fille de l’Intendant de Louis XVI, petite-fille de l’ambassadeur du Royaume pour la Suisse et petite-nièce du Grand Ministre du même roi. A l’âge de seize ans elle épouse le comte Auguste-Laurent de Rémusat chez les parents duquel sa mère et sa sœur s’était réfugiées pour échapper à la Terreur qui guillotina son père 43 ans et son grand-père 75 ans le 24 juillet 1794 trois jours avant la chute de Robespierre. Emprisonnée quelques temps elle fera la connaissance et se liera d’amitié avec une certaine Joséphine dont le mari a été guillotiné. Cette Joséphine à sa libération fera la connaissance d’un général d’artillerie qui commencera sa carrière ascendante par un assassinat en masse de trois cents personnes par canons armés à mitraille sur les marches de l’église Saint Roch. Joséphine de Beauharnais épousera en 1796 le général Bonaparte. Son mari devenu Premier consul en 1799 elle retrouvera son amie puis elle l’engagera comme dame de compagnie, Dame du Palais ; son mari, le futur comte d’Empire de Rémusat se retrouvera rapidement Préfet du Palais des Tuileries et Grand chambellan. Ils seront ainsi dans l’intimité de la famille consulaire puis impériale étant les témoins privilégiés de la conduite de l’empereur et de petits secrets sur son comportement. Ces mémoires de Madame de Rémusat occupent trois tomes ; 410 pages Tome I, 415 pages Tome II, 411 pages Tome III. Elles furent publiées par son petit-fils Paul de Rémusat, chez Calmann Lévy, Paris, 1880. Le texte n’a pas été retouché par le petit-fils qui a seulement ajouté des notes en bas de page ; par exemple pour corriger l’affirmation par sa grand’mère que Pichegru a été assassiné il note que la médecine légale a fait de grandes avancées en 70 ans et a démontré que l’on pouvait s’auto-stranguler ». Napoléon, pour les Chouans. Il en fut un irréductible adversaire dès le Consulat et jusqu’au mois de mars 1804 ; il démantèle le réseau que Georges Cadoudal avait monté dans le but de l’enlever. Mais auparavant il aura essayé comme la Convention et le Directoire les Faux-chouans et même la tentative d’assassinat ; Gabriel Antoine de Becdelièvre et Louis Lainé le paieront de leur vie et disparaitront à tout jamais, en 1800, aux environs de Le Tour du Parc presqu’île de Rhuys exécutés par les Chouans après la découverte de poison sur eux. Après que Georges ait refusé de demander sa grâce au nouvel empereur depuis le 18 mai 1804 proposée par Réal pour lui uniquement et non pour ses compagnons d’infortune sa demande d’être exécuté en premier comme il l’avait fait demander par le même Réal lui sera refusé par le nouvel empereur. La vindicte de Napoléon poursuivra aussi l’adjoint de Georges Cadoudal, Louis-Charles de Sol de Grisolles, qui restera enfermé dans les bas-fonds de la prison de l’Abbaye d’octobre 1804 à avril 1814. Il fut torturé par arrachage des ongles des mains mais il ne parla pas. Il sortit de prison en 1814 à moitié aveugle et très affaibli ; cela ne l’empêcha pas de reprendre le combat à la fin des Cent jours. Pour ses opposants Napoléon avait aussi rétabli la torture en particulier par ce qu’il appelait le serrage des pouces » entre le chien d’un fusil et la batterie, ce qui inévitablement écrasait en les disloquant les articulations. Il exilera de Paris à Issy les Moulineaux M. Emery qui lui avait fait l'affront de refuser l’Evêché d'Arras pour services rendus au moment du Concordat contrairement à l'abbé Bernier qui avait accepté Orléans. C’était il y a 200 ans, en l’île de Sainte Hélène.
Lesparoles de la comptine “Napoléon” Napoléon est mort à Sainte Hélène, Son fils Léon lui a crevé l’bidon. On l’a r’trouvé, assis sur une baleine, En train d’bouffer les fils de son caleçon (bis) Napoléon 1er est mort à l’âge de 51 ans, le 5 mai 1821 à Longwood, Saint-Hélène (Royaume-Unis). J'adore Partager Laisser mon avis sur cette activité

Auteur Olivier Boura Titre français Napoléon n’est pas mort à Sainte-Hélène Éditeur GAUSSEN Année de parution 06/05/2021 2021 ISBN 9782356982131 Quatrième de couverture Napoléon serait mort le 5 mai 1821 à Sainte-Hélène. C’est du moins ce qu’on lit dans les livres d’histoire, mais, depuis près de deux cents ans, plusieurs romanciers se sont employés à faire mentir cette donnée historique apparemment incontestable. C’est même l’idée que le destin de l’Empereur aurait pu être autre que ce qu’il a été qui a donné naissance à un genre littéraire nouveau l’uchronie. L’Histoire de la conquête du monde et de la monarchie universelle publiée en 1836 par Louis Geoffroy est en effet le premier livre supposant un point de bifurcation de l’histoire. La France serait-elle dès lors la nation par excellence de l’uchronie, dans laquelle elle chercherait une consolation, une forme de méditation souriante et ludique sur la vanité de la puissance et de la gloire ? Professeur agrégé d’histoire, Olivier Boura est installé dans le Gard, il est l’auteur de livres historiques, de récits, de nouvelles. Il a obtenu en 2006 2006 le prix Hemingway de la nouvelle. Mon avis Au premier abord, je me suis demandé ce que le titre cacher. Un roman ? un essai plus ou moins complotiste sur la base classique de on nous cache tout on nous dit rien », mais moi j’ai découvert la vérité ? Rien de tout ça. En découvrant qu’il s’agissait d’un essai sur les uchronies napoléoniennes, je ne pouvais que vouloir le lire. Et voilà ! C’est fait. Et je suis loin de le regretter. Quelques pages d’index, une bibliographie des titres de romans, nouvelles et essais dont il est question dans le volume, un petit port-folio regroupant des reproductions de couvertures et de pages de certaines de ces uchronies... et près de 215 pages d’informations passionnantes sur l’histoire de l’uchronie napoléonienne depuis 1815. Mais qu’est-ce qu’une uchronie ? me direz-vous. C’est une fiction qui tente d’écrire l’Histoire telle qu’elle n’a pas eu lieu. Hormis celles qui sont présentée dans Napoléon n’est pas mort à Sainte-Hélène, parmi les plus connues nous trouvons Ariosto Furioso, de Chelsea Quinn Yarbro où l’auteure imagine ce qu’aurait pu être l’histoire des Amériques si les Génois avaient financé l’expédition de Christophe Colomb Le maître du haut château, de Philip K. Dick où l’auteur imagine une fin de seconde guerre mondiale favorable aux forces de l’axe et non aux alliés. Mais les première uchronies tentaient d’imaginer un monde différent induit par une histoire de Napoléon Bonaparte différente. Et si la France n’avait pas acheté la Corse aux Génois et que Napoléon s’en était aller faire carrière dans l’armée austro-hongroise ? Et si La bataille de Waterloo avait été gagnée par l’armé française ? J’ai eu le sentiment, à lire ce livre, que c’était le point de départ favori. Et si Napoléon s’était évadé de Sainte-Hélène ? Et si.... Bref, Napoléon n’est pas mort à Sainte-Hélène va vous faire découvrir bien des œuvres de fiction qui, pour beaucoup, méritent le détour. Des plus anciennes Napoléon Apocryphe 1812-1832 1832 l’histoire de la conquête du monde et de la monarchie universelle, écrite dès 1836. Aux plus récentes L’empire électrique, publiée en 2017 2017 . Alors, est-ce un bon livre ? Je pense que oui. Il intéressera aussi bien le fan d’uchronie sous-genre » de la S-F tout autant que le fan d’histoire. Et pour aller plus loin Vous pouvez lire les éditions de 1836 et 1841 de Napoléon et la conquête du monde, 1812-1832 1832 histoire de la monarchie universelle par L. Geoffroy-Château 1803-1858 1858 , tous les deux disponible sur gallica. Retrouvez la fiche du livre et d’autres chroniques sur Livraddict Retrouvez la fiche du livre et d’autres chroniques sur Babelio

Napoléonest mort à Saint Mandé . INA. 4:47. Bicentenaire de la mort de Napoléon : Laurent Joffrin est "passionné par la révolution et par l'empire" Europe 1. LE LIVRE Napoléon et Dieu est seulement le troisième livre paru sur ce thème ; les deux précédents de Beauterne et Lombroso étant parus en 1840 et 1920. Que se passe-t-il quand l’homme le plus puissant du monde depuis vingt siècles, rencontre le Tout-Puissant ? Napoléon est issu d’une famille profondément catholique et s’éloigna de Dieu après s’être disputé avec son confesseur de l’Ecole militaire, qui lui reprochait de préférer la Corse à son nouveau souverain Louis XVI. Dans cet essai historique, préfacé par le Pr Jean lulard, Philippe Bnrnet nous explique que Napoléon était civilement bigame et que ses deux mariages religieux étaient invalides Ayant connu à Saint-Hélène les mêmes humiliations qu’il avait imposées au pape Pie VII, il s’entretenait fréquemment de questions religieuses avec ses compagnons d’infortune nature de l’âme, immortalité, vie après la mort… et reprit une série de lectures religieuses et théologiques avant de demander la consolation d’un aumônier. Napoléon était superstitieux et fort ignorant en matière religieuse il n’a jamais compris la différence entre annulation du mariage et divorce. Il concédait au Pape le pouvoir spirituel mais réclamait le pouvoir temporel absolu et, pour lui, la nomination des évêques en faisait partie. Il força les cardinaux absents à son mariage avec Marie-Louise, à quitter leur tenue rouge et les exila, voire les emprisonna. Excommunié en 1810, il tenta par tous les moyens d’obtenir du pape un deuxième concordat en 1813. Le cardinal Fesh, son oncle lui avait fait parvenir une tabatière en forme de cercueil dans le fond de laquelle était écrit Pense à ta fin, elle est proche ». Le samedi de Pâques, il se convertit. 2021… Bicentenaire de la mort de l’Empereur. Pour achever ce cycle de commémoration commencé en 1969, la Fondation Napoléon a fédéré les institutions engagées dans ce bicentenaire au sein du label 2021 Aimée Napoléon ». Une Année Napoléon inoubliable… partout l’ Année Napoléon se déclinera dans toute la France, grâce aux institutions muséales, d’archives et de recherches, aux Villes Impériales, à des délégations du Souvenir napoléonien et à des institutions régionales ou locales comme l’Institut catholique de Vendée, mais aussi à l’étranger, grâce à la Commune de Waterloo ou les Domaines nationaux de Sainte-Hélène. Napoléon était-il chrétien ? Est un sujet qui peut difficilement être traité par un universitaire. Ce sujet paraît tranché et moi-même, ayant lu le général Bertrand, j’ai longtemps cru que Napoléon était mort théiste, muni des derniers sacrements pour complaire à l’opinion catholique, pour sacrifier à une religion nécessaire à la société et sans laquelle reprendrait inévitablement cette guerre de chacun contre tous, décrite par Thomas Hobbes. Il était temps de reprendre le dossier avec un œil neuf, et je m’efforce de poser ici sur la foi de l’Empereur un regard global, replaçant les pensées et les actes dans leur contexte, accordant plus de prix aux actions qu’aux écrits et aux écrits qu’aux paroles, sans oublier qu’on n’est pas le même enfant, adolescent, adulte agonisant. Napoléon en personne connut le doute et les préjugés de son temps sans jamais renier son baptême catholique. » L’AUTEUR Philippe Bornet, clinicien, ancien journaliste est l’auteur de guides pratiques, romans historiques et essais. Dimensions 13,5 x 20,5 cm Date de parution mars 2021 Lattentat dramatique de la rue Saint Nicaise, veille de Noëlle 1800, qui épargne Napoléon et son entourage n’est-il pas miraculeux ? Histoire de Lire accueille l’historien David Chanteranne, rédacteur en chef du magazine Napoléon 1er et conservateur du Musée Napoléon de Brienne-le-Château. Son ouvrage Les douze morts de Napoléon publié Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 24 août 2022 Jean-Noël Manthe, Émile et Léonie, Une aventure sous la Commune, Le Temps des Cerises et Les Amis de la Commune de Paris, 2011, 15 €. Maxime Vuillaume, Mes Cahiers rouges [souvenirs de la Commune], éditions La Découverte, 27,50 euros. En vente aussi aux Amis de la Commune. Le peuple au Firmament ; Ils étaient les Communards, Deux numéros hors série de l’Humanité pour le 140e anniversaire de la Commune. Yvonne Singer-Lecocq, Rouge Elisabeth, Pascal Galodé éditeur. 235 pages, 20 €. André Léo, La Guerre sociale, Le Passager clandestin, juin 2011, 7 €. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 24 août 2022 Vive la Commune ! », Procès de Louise Michel , 16 décembre 1871, suivi de La Commune est proclamée », Jules Vallès, 30 mars 1871,et de La guerre civile en France » Adresse de Karl Marx, 30 mai 1871. Edition bilingue, Editions Points, février 2011. Meddy Lallaoui, Kabyles du Pacifique, Éditions Au nom de la mémoire. Andrée Collot, Jules Guesde, éducateur et organisateur du prolétariat, édit. Inclinaison. Maxime Vuillaume, Mes Cahiers rouges, souvenirs de la Commune, Éditions La Découverte. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 25 août 2022 Revue Europe, dossier Bernard Noël, janvier-février 2011, n° 981/982. Christian Colas, Paris graffiti les marques secrètes de l’histoire, éditions Parigramme. Laure Godineau, La Commune de Paris par ceux qui l’ont vécue, Paris, éditions Parigramme, 2010. Le Temps des cerises, un film de Claude Val, Callysta Productions. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 25 août 2022 Éloi Valat, L’enterrement de Jules Vallès, éditions Bleu autour 2010 Jean-Claude Caron, Frères de sang La guerre civile en France au XIXe siècle, éd. La Chose Publique – Champ Vallon. Bertrand Solet, Bastien, gamin de Paris, éd. Nouveau Monde, Collection Toute une Histoire. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 25 août 2022 Paschal Grousset 1844-1909, Actes du colloque, Les Cahiers d’Adiamos 89, n°4, mai 2010. Centenaire Paschal Grousset 1844-1909, Actes du colloque de Grissolles 10-11 avril 2009, Chistian Laucou-Editions Des Barbares, 2009. Edith Thomas, Rossel, Gallimard Coll. Figures. Yves Carcenac, Ferdinand Janssoulé, Le lascar de Montmartre, un franc-tireur de la Commune, Gérald Dittmar, 2010. Paul Lidsky, Les écrivains contre la Commune, La Découverte [rééd 2010] Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 25 août 2022 Jean Didier Vincent, Élisée Reclus géographe, anarchiste, écologiste, Robert Laffont éditeur. Victor Hugo, Actes et paroles, coéd. Le Monde/Flammarion. Simier, Imbert et Groud, Dalou à Paris, Paris musées 2010 Joseph Siquier, Parcours buissonnier à travers l’histoire contemporaine maltraitée, Aurillac 2007. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 25 août 2022 Victor Hugo, Histoire d’un crime, Editions La Fabrique, 756 p. Gaston Da Costa, Mémoires d’un communard — La Commune vécue, Ed. Larousse, 383 p. Pierre Milza, L’année terrible » tome 2 La Commune mars-juin 1871, Perrin, 2009, 514 p. Serge Utgé-Royo, Contrechants de ma mémoire Vol. 3. CD Editho Musiques. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 25 août 2022 Écrit par Béa Deru-Renard et illustré par Hans Ulrich Osterwalder, Sophie au temps des cerises - Sous la Commune avec Nadar et Louise Michel, Éditions de l’École des Loisirs, Paris. Petit Larousse de l’Histoire de France, Pipe en bois, septembre 2009, pages 412 à 414. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 25 août 2022 René Bidouze, La Commune de Paris telle qu’en elle-même, Éd. Le Temps des cerises Cécile Clairval-Milhaud, La Commune de 1871, DVD, réalisation Olivier Ricard, durée totale 76 mn. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 25 août 2022 Villiers de l’Isle-Adam, Tableau de Paris sous la Commune, Édit. Sao Maï. Encyclopaedia Universalis, collection Les Essentiels d’Universalis, histoire, volume 2, 800 pages Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 26 août 2022 Yves Laine, Alfred K. zouave et communard Suivi des carnets intimes de Marie et de Pauline, Ed. Cheminement, 2008. Thanh-Vân Ton-That, Léon Cladel et l’écriture de la Commune, L’Harmathan. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 26 août 2022 Gérald Dittmar, Histoire de la Commune de Paris de 1871, Editions Dittmar. PierreHenri Zaidman, Le mandat impératif - De la révolution française à la Commune de Paris, Les Editions de l’Atelier, 1999, Les Editions du Monde Libertaire. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 26 août 2022 Than-Vân Ton-That, Le Siège de Paris 1870-1871 - Journaux croisés d’un écrivain et d’un enfant, Éditions l’Harmattan. Jules Guesde, Le livre rouge de la justice rurale, Imprimerie Ve Blanchard & C., Cours de Rive, Genève, 1871. Isabelle Langerome, auteure et cinéaste, Où cours-tu Michel ? Un militant dans la tourmente, Éditions de l’atelier. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 26 août 2022 Benoît Malon, La Troisième Défaite du Prolétariat français, G. Guillaume fils éditeur, 1871, Neuchàtel. Justice ! par un officier dartillerie de l'armée de Paris, Imprimerie internationale, Londres, 1871. Éloi Valat, Le journal de la Commune, Éditions Bleu Autour & Paris-bibliothèques. Gérald Dittmar, Montmartre de la republique à la Commune, Éditions Dittmar. Gérald Dittmar, Gustave Courbet et la Commune — Le politique, Éditions Dittmar. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 26 août 2022 La Commune de Paris en 1871, Mairie de Paris, Direction de l’information et de la communication, 2007. Georges Jeanneret, Paris pendant la Commune révolutionnaire de 71, Neuchatel,1871. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 26 août 2022 Michèle Vincent, Les femmes et la Commune de Paris, La Raison n°521 de mai 2007. Gavin Bowd, Adrien Lejeune le dernier communard, L’Harmattan. Jules Vallès, Le tableau de Paris, Berg International éditions 342 p. Suzy Cohen , L’enfance au cœur, L’Harmattan. Arthur Arnould, Histoire populaire et parlementaire de la Commune de Paris, Éditions Dittmar. Gérald Dittmar, Anthologie de la Commune de Paris 1871, Editions Dittmar, 471 p. Gérald Dittmar, Belleville de l’Annexion à la Commune, Éditions Dittmar, 281 p. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Pierre-Henri Zaidman, Émile Duval, Général de la Commune, préface Marcel Cerf et avant-propos Alain Dalotel, Éd. Dittmar. Francis Sartorius & Jean-Luc De Paepe, Une légation dans la tourmente, Du Lérot, éditeur. Gérald Dittmar, Une tragédie française la Commune de Paris de 1871, Éditions Dittmar Paul Tirand, Émile Digeon 1822-1894 ou L’itinéraire singulier d’un Communard, Collection Logiques historiques, L’ Harmattan. Meziane Hammadi, Parlez-vous le Renaud ?, Éditions le bord de l’eau. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Collectif, Hôtel Oasis pour Louise Michel, Editions la passe du vent Collection Haute mémoire, janvier 2006, 108 pages. Nouvelle édition Louise Michel, Légendes canaques, Editions Cartouche, Paris, 2006. Joël Dauphiné, La déportation de Louise Michel, Éditions Les Indes galantes. Rimbaud, Les Fêtes de la Patience, dit par Charles Martin, Collection poésies et chansons à voix haute et nue, volume n°5, Editions Vilo. Henri Rochefort, Les aventures de ma vie, Édition présentée et annotée par Paul Lidsky, Le temps retrouvé, Mercure de France. André Gill, Correspondances et mémoires d’un caricaturiste, Présentation Bertand Tillier, Éditions Champ Vallon. Arthur Rimbaud géographe ?, revue La Géographie, numéro de janvier 2006. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Vallès le réfractaire, La Raison, mensuel de la Libre Pensée, n° 509, pages 28-29. La Commune, l’action des femmes, Editée et vendue par l’Association des Amis de la Commune de Paris. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Alain Dalotel, Gabriel Ranvier 1828-1879. Le Christ de Belleville», Editions Dittmar. Marie Desplechin, Séraphine, Ed. L’école des loisirs. 195 pages. 2005. Robert Le Quillec, Bibliographie critique de la Commune de Paris 1871, Ed. Boutique de l’Histoire, 2005. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Bertrand Tillier, La Commune de Paris. Une révolution sans images », Ed. Champ Vallon 32 euros. Chantons la Commune ». Editée et vendue par l’Association des Amis de la Commune de Paris. Philippe Dumas, Le temps des cerises », Edition L’école des loisirs. Gérard Vallée, La Rouge mare du Haut-Plessis, Editions Page de garde. 16 euros. Louise Michel, Prise de possession, Editeur Rocher, Prix 12 euros. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 André Léo, Ecrits politiques, Editions Dittmar, 371, rue des Pyrénées, 75020 Paris. La Libre Pensée anniversaire de la Loi de séparation des Églises et de l'État. Maxime Jourdan, Le Cri du Peuple, L’Harmattan, 306 pages. Christophe Bitaud, Élie May communard et franc-maçon, Babelio. Jean-Louis Ménard, Émile Eudes, général de la Commune blanquiste, Editions Dittmar. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Pierre-Henri Zaidman, Émile Duval, Général de la Commune, préface Marcel Cerf et avant-propos Alain Dalotel, Éd. Dittmar. Philippe Richert, Charles Beslay le bourgeois de la Commune, Éd. Dittmar. Victorine B., Souvenirs d’une morte vivante, édition La Découverte, redécouverte » Jean-Paul Martineaud, La Commune de Paris, l’Assistance publique et les hôpitaux en 1871, préface de Marcel Cerf, édition l’Harmattan. Louise Michel, Mémoires, éditions Tribord, 184 rue de l’Hôtel des monnaies, 1060 Bruxelles. Joël Dauphiné, Henri Rochefort, L’Harmattan. Daniel Vasseur en collaboration avec Jean-Pierre Popelier, Les soldats de mars. Avoir vingt ans sous la Commune, L’Harmattan, 2005. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Moens Julie, Zola l’imposteur, les Editions Aden, 165 rue de Mérôde – B-1060 Bruxelles – 17. Mehdi Lallaoui, Kabyles du Pacifique, collection Au nom de la mémoire BP 82 95873, Bezons Cedex. Madame Hardoin, La détenue de Versailles 1871, Les Amis de la Commune de Paris 1871. Marc Viellard, Les Amants de la Commune, Éd. Le Temps des Cerises, 291 p. Marie-Hélène Boutet de Monvel, Marx raconté à mon fils, Éd. Au bord de l’eau, Lucien Descaves, Philémon, vieux de la vieille. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Tardi et Vautrin, Le cri du peuple Le testament des ruines, Casterman, 2004. Club municipal des retraités et du temps libre Bertrand de Bar, Louise Michel, Amour du peuple. haine des institutions, Club municipal des retraités 9 rue du Collège, Bar-sur-Aube 10200. G. Dittmar, Louise Michel 1830-1905, Paris, Editions Dittmar, 2004 Gilles Perrault, Le déshonneur de Valéry Giscard d’Estaing, Éd. Fayard. Actes du colloque de l’association Adiamos – 89, Zephirin Camélinat, Une vie pour la sociale. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Tony Moilin, Paris en l'an 2000, présentation MauriceMoissonnier, Aléas. La Raison n° d'avril 2004, Libre pensée. Nouvelle-Calédonie, un timbre poste à l'effigie de Emma Piffault. Alain Dalotel, André Léo 1824-1900, La Junon de la Commune, Association des publications chauvinoises, BP 64, 86300 Chauvigny, tel 0549463545, prix 20 Euros. Yves Meunier, La peau des statues, éditions editonly. Francis Sartorius, Tirs croisés, Usines réunies du Lérot, éditeur, 15140 Tusson. Alain Bellet, Fausse Commune, collection Polarchives, Éditions Le Passage Paris-New York. 2003. Louis-José Barbançon, L'Archipel des forçats, histoire du bagne de Nouvelle Calédonie 1863-1933, Presses Universitaires du Septentrion. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Jacques Julliard, Le Choix de Pascal, Éditions Déclée de Brouwer. Wilhelm Dinesen, Paris sous la Commune, Michel de Maule éditeur. Gérald Dittmar, Histoire de femmes dans la Commune de Paris, Édition Dittmar. Le département de l’Oise et la Commune de Paris, Bulletin de la Section de l’Oise du Syndicat des Instituteurs, n°113 mai 1971 Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Alain Raffensthain, Quand les uhlans passèrent la Loire, Éd. Royer 2002. Tardi/Vautrin, Le cri du peuple – Les heures sanglantes, Casterman, 76 p. Gildard Guillaume, Les noces rouges, Éditions l’Harmattan, 422 pages, Gérald Dittmar, Les francs-maçons et la Commune de 1871, Éditions Dittmar 2003, 1 volume, 148 p. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Madia Tovar et Monique Houssin, Dix balades historiques. Sur les traces du Paris insolite et rebelle, Le Temps des Cerises, 2003. 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Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Julien Rycx, Louis Lucipia ou le triomphe de la République démocratique et sociale 1843-1904, mémoire de maîtrise, Université Charles de Gaulle – Villeneuve d’Ascq – Lille III. Louise Michel, Le livre du bagne, Edition des Presses Universitaires de Lyon. Virginie Buisson, Lettres Retenues Correspondances censurées des déportés de la Commune en Nouvelle Calédonie, Éditions du Cherche-Midi. Pierre-Henri Zaidman, Lucien-Félix Henry, colonel de la Commune, condamné à mort et artiste australien, Edition du Baboune, 2000. Tardi/Vautrin, Le Cri du Peuple les canons du 18 mars, Casterman. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Bernard Noël, Dictionnaire de la Commune, Editions Mémoire du Livre, Paris, 2000. Franz Van der Motte, Mourir pour Paris insurgé, L’Harmattan. Jean-Jacques Meusy, La Bellevilloise 1877-1939, Creaphis, 2001. 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Louise Michel, Je vous écris de ma nuit, correspondance établie et présentée par Xavière Gauthier, Éditions de Paris. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Jean Vautrin , Le Cri du peuple, Grasset, 494 p. Recueil de photographie, La Commune Paris 1871, Photo Poche Histoire, Éditions Nathan. Henry Bertrand, La Commune au féminin, article de la Revue semestrielle de l’association des Ecrivains de langue française. André Combes, Histoire de la Franc-Maçonnerie au XIXe siècle, tome II, par, Éditions du Rocher, 430p. Raymond Huard , Rural ». La promotion d'une épithète et sa signification politique et sociale, des années 1860 aux lendemains de la Commune, article de la Revue d’Histoire moderne et contemporaine Tome 45 - 4e trimestre 1998 Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Jérôme Quarreti, Le mouvement communaliste et le Roussillon 1871-1880, Mémoire de maîtrise, XIXe siècle en mémoires, 1997, 1 vol. 261 p. Archives départementales Pyrénées-Orientales - BIB 15878. Bibliothèque Universitaire Perpignan - Lettres - ML 1997 QUA. Catherine Guigon, Les mystères du Sacré-Cœur, Éd. Seuil. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Léon Cladel, Édition du Lérot. Mathieu François, J’étais enfant pendant la Commune de Paris, Éd. du Sorbier, 1997. Robert Le Ouillec, La Commune de Paris, bibliographie critique - 1871/1997, Éditée par la Boutique de l’Histoire, 1997. Sylvie Aprile. Raymond Huard, Pierre Lévèque, Jean-Yves Mollier, La révolution de 1848 en France et en Europe, Éditions Sociales, 256 p. Tony Moilin, Paris en l'An 2000, Éditions Aléas. Gustave Flaubert, Correspondance IV janvier 1869-décembre 1875, Pléiade – Gallimard, 1998,1486p. Lire la suite... Détails Catégorie Notes de lecture et parutions récentes Mis à jour 27 novembre 2020 Henriette Chardak, Élisée Reclus, l'Homme qui aimait la Terre, Éditions Stock, 592 pages. Pierre Brochon, Eugène Pottier – Naissance de l’Internationale, Saint-Cyr-sur-Loire, Christian Pirot, 1997. Lire la suite... xbs0L7. 142 174 330 45 390 40 362 202 33

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