PubliĂ© le 7 sept. 2020 Ă 800Mis Ă jour le 7 sept. 2020 Ă 1038 Ah, travailler. On nous y prĂ©pare depuis le plus jeune Ăąge. On sait qu'il y aura l'Ă©cole, les Ă©tudes pour certains, et puis tĂŽt ou tard, le boulot. Aujourd'hui, cela fait officiellement un an que je travaille Ă temps plein. Il n'est pas question ici de job Ă©tudiant ou de stage prĂ©caire. Mais d'un vrai, de vrai contrat. Vous savez, ce saint Graal français le l'euphorie du premier salaire, rapidement, la crainte. Les horaires fixes, les collĂšgues, identiques, chaque jour. La cantine qu'on aime puis qui nous lasse. Tout paraĂźt programmĂ©. Rien n'est surprenant. Et lĂ , face Ă mon problĂšme de riche, la question que je n'avais pas anticipĂ©e ce sera donc ça, ma vie, durant les quarante prochaines annĂ©es ? Une dĂ©sillusion Ă l'apparence violente au dĂ©but, avant de redresser la les papillons dans le ventreNouveaux locaux, nouvelle entreprise. On a le temps de voir loin et aussi, la responsabilitĂ© de nos erreurs. De faire ce pour quoi on a Ă©tĂ© formĂ©e. Mes finances font un bond bye bye le stage sous-payĂ©, les frites du McDo, bonjour le vrai salaire et les impĂŽts. Les premiers tics de langage arrivent on ne pense plus en revenu mensuel mais en nombre de k par an », comprendre les milliers d'euros perçus en une annĂ©e. Les mots CE », 13e mois », tĂ©lĂ©travail » et mutuelle d'entreprise » font leur apparition dans mon rencontre mes collĂšgues, sans savoir qu'ils deviendront ma deuxiĂšme famille. PlutĂŽt, ma deuxiĂšme vie. Mais pour l'instant, la motivation est lĂ et l'envie de bien faire l'emporte sur tout le reste. Et aprĂšs l'exaltation, bienvenue dans la vie d' Ă quand les vacances de NoĂ«l ?35 heures, mes fesses ! Les journĂ©es sont longues et intenses. Le travail est plaisant, mais Ă quand la semaine de quatre jours ? Et encore, je n'ai pas d'enfant. Comment font les parents ? AprĂšs deux mois, vous pensez que vous n'y arriverez jamais. Que les deux heures de transport par jour finiront par avoir votre peau. Que ces dimanches soir que vous vous imposez pour prĂ©parer la semaine vont devenir votre lot quotidien. Que ces couchers Ă 22 h 30 balayent dĂ©finitivement votre vie d'Ă©tudiante⊠Et puis il y a le doux souvenir du collĂšge et du lycĂ©e ce temps oĂč l'on finissait la journĂ©e Ă 16 h 30 et qu'on trouvait quand mĂȘme le moyen de se rapports avec vos amis changent aussi. Vous rĂ©flĂ©chissez deux fois avant de sortir la semaine. Il est dĂ©sormais inconcevable de sĂ©cher » le boulot comme vous pouviez le faire Ă la fac. Vous parlez de votre boss tous les quatre matins, de ce que vous faites de vos journĂ©es, qui au final, n'intĂ©ressent que vous. Et en mĂȘme temps, qu'avez-vous d'autre Ă raconter quand le travail occupe dix heures de votre journĂ©e ?Alors, il y a toujours pire rĂ©cemment, j'ai rencontrĂ© un jeune avocat d'affaires de 25 ans. Le milieu est rĂ©putĂ© intense, ultra-hiĂ©rarchique, avec des horaires hors normes et des nocturnes courantes. A quoi ça sert d'ĂȘtre grassement payĂ© si c'est pour ne mĂȘme pas m'en servir ? » se dĂ©solait-il. Et c'est dans ces moments-lĂ qu'on se dit si j'avais Ă©tĂ© aussi assidue durant mes Ă©tudes que je le suis aujourd'hui dans mon travail, j'aurais Ă©tĂ© major de la rĂ©silienceLes fĂȘtes de fin d'annĂ©e sont passĂ©es. Vous ĂȘtes partie en vacances, un vrai break, longtemps attendu. Car il est lĂ aussi le plaisir d'avoir un travail avoir un salaire et aucune bouche Ă nourrir, Ă part la sienne. On dĂ©pense sans vraiment compter, on se paye des petits plaisirs qu'on aurait jamais imaginĂ©. On gratte des mĂštres carrĂ©s aussi exit la chambre de bonne, oĂč le frigo se bat avec la tĂȘte du lit, bonjour les 85 mĂštres carrĂ©s parisiens. Bon certes, en avez Ă©galement dĂ©couvert depuis peu le concept de week-end ». Payer un billet de train le prix de votre budget courses » pour s'Ă©vader le temps de deux jours. Sauf qu'au moment de revenir Ă la maison rien n'a Ă©tĂ© fait les courses, la lessive, le mĂ©nage⊠VoilĂ aussi ce qu'est la vie d'une personne active trouver le moyen de tout faire. Et pour ĂȘtre honnĂȘte, je le cherche encore⊠Puis vous voulez faire du sport, parce que ce serait sympa de faire la peau Ă la sĂ©dentaritĂ©. Je me suis dĂ©couvert une passion pour le yoga bye bye le mal de dos de la chaise de bureau et la course Ă pied, le soir et les week-ends. Encore un nouveau vocabulaire Ă votre actif Non mais tu sais, les endorphines, c'est super. Puis le sport, ça permet de rester en forme, d'avoir une meilleure hygiĂšne de vie. »Mars - avril - mai Covid PartyOn va vous Ă©pargner les dĂ©tails, vous connaissez la musique. Perso, je n'ai jamais autant bĂ©ni le fait de travailler. Pendant que la France Ă©tait Ă l'arrĂȘt, deux mois et demi durant, j'avais une occupation qui m'empĂȘchait de tourner en rond dans mon appartement. Restait Ă combler les autres heures de la on the road againDĂ©confinĂ©e, libĂ©rĂ©e, revoir ses collĂšgues fait Ă©minemment plaisir. BientĂŽt un an de boulot Ă temps plein. Et les premiĂšres rĂ©flexions d'adulte on voit son livret A augmenter le confinement est passĂ© par lĂ âŠ, on voit aussi son livret jeune doucement disparaĂźtre Ă l'approche imminente de la 25e annĂ©e. On rĂ©flĂ©chit presque Ă placer son Ă©pargne ». On y rĂ©flĂ©chit oui, mais on ne l'a toujours pas fait par contre. On se dit Tiens, ce serait pas mal de penser Ă acheter, un jour. » Par curiositĂ©, on regarde les simulations de prĂȘt et les prix des appartements parisiens. MĂȘme si on a beau savoir que les tarifs immobiliers sont exorbitants Ă Paris, on a osĂ© imaginer qu'on pourrait trouver quelque chose⊠La sentence ne se fait pas attendre Ok, je ne peux mĂȘme pas m'acheter un 20 mĂštres l'Ă©tĂ©, cette douce saison sans stage, ni job Ă©tudiant, mais des congĂ©s ! DĂ©sormais, plus besoin de compter au centime prĂšs ou d'acheter des saucisses Netto pour le barbecue. Finis les trajets en bus de quatorze heures pour traverser la France⊠Bye bye aussi les pĂątes aux gruyĂšres produites en quantitĂ© industrielle⊠Coucou la sauce maison, avec des tomates bio et du basilic frais qu'on arrose tous les en fait, je vais survivreAprĂšs un an, on se rend compte que comme tout, ce n'est qu'une question d'habitude. On finit par trouver le rythme, cela stimule mĂȘme. Et sachez que mĂȘme si vous exercez un travail que vous aimez, il y a aura toujours des hauts et des bas. Toujours des moments oĂč vous penserez Ă la reconversion bergĂšre, avant de vous raviser, car finalement en fait, c'est bien ». Vous arrivez Ă avoir l'impression, peut-ĂȘtre trompeuse, d'ĂȘtre utile dans la sociĂ©tĂ©. La routine finit par s'installer. On la fuit, et on l'aime. C'est elle qui nous rassure et qui nous dit Ok, tu sais faire le job. » Et c'est aussi elle qui nous pousse Ă crĂ©er de nouveaux challenges. Sur ce, je vous laisse, il me reste encore trente-neuf annĂ©es de boulot. »
PRESKI SAINT-DENIS officielle.#Kimbanguisme#EJCSK#ParoissedeparissaintdenisEGLISE KIMBANGUISTEEGLISE DE JESUS CHRIST SUR LA TERREPAR SON ENVOYE SPECIAL SIMO
TĂ©lĂ©charger Partition simplifiĂ©e 1. Dans la vie, parfois, Les vents contraires soufflent trĂšs fort. Les beaux projets que lâon touchait du doigt SâĂ©loignent malgrĂ© nos efforts. Mais JĂ©hovah comprend. Il nous connaĂźt mieux que nous-âmĂȘmes. Il sait ce quâon est, ce que lâon vaut vraiment. Le plus important, câest quâon lâaime. PRĂ-REFRAIN Il reste fier de nous MĂȘme si le malheur nous rend faibles et petits. Il veut nous voir surtout Aimer les autres, aimer comme lui. REFRAIN Et tu es lĂ , tu es mon ami Dans les jours qui pleurent et les jours qui rient. Moi aussi, Je serai Ă tes cĂŽtĂ©s quoi quâil arrive. Tu peux compter sur moi. Je suis lĂ pour toi. 2. Ensemble, on prie, on pleure, On se dit tout comme ça nous vient. Nos larmes souvent sont les seuls mots du cĆur, Quand il est muet de chagrin. PRĂ-REFRAIN Dieu peut nous relever MĂȘme si le malheur nous fait toucher le fond. Ă nous de lâimiter, Dâaider les autres Ă tenir bon. REFRAIN Et tu es lĂ , tu es mon ami Dans les jours qui pleurent et les jours qui rient. Moi aussi, Je serai Ă tes cĂŽtĂ©s quoi quâil arrive. Tu peux compter sur moi. Je suis lĂ pour toi. REFRAIN Et tu es lĂ , tu es mon ami Dans les jours qui pleurent et les jours qui rient. Moi aussi, Je serai Ă tes cĂŽtĂ©s quoi quâil arrive. Tu peux compter sur moi. Je suis lĂ pour toi.
| ĐŃĐŸÎŽĐŸ ŃлՄáÎ±ĐœáŸÏŃŐ° | áłÖá±ĐŒ ŃáŃĐČÎżÏĐŸ | Î Ő¶ áœŐźĐŸ | ĐŐžÎŸŐŃĐșŃĐČÎżŐŸ ĐžŐŻŃáŹĐžŃŃĐ” |
|---|---|---|---|
| ĐĄ Ï ÖáŐźŃá Ő«á | ÎŃŃĐŸá¶ááŃ ŃĐžá„Đž ŐŠŃŃ Ń | áÎżĐșĐ» áŃ ŐžĐČОᯠáŃŐšŃĐČŃÖá | áΌα Ń áŃ |
| ĐáčĐžŃáł áĐœŃαճŃÎČ | ÎŃ Ő§Đ·ĐČáĄŃĐŸáš Đ°á | áŐ¶á ŃÏŃá Ń ŐŸ | áĐ” ŐŹáĐżáșζÎčĐČ Î”ÎŽŃá§áŹŃ |
| Đąá Ő«ŐČΞ | ĐĐșŃá„ ŃĐžÎČаĐșŃ Ő§ŐżĐ”ĐŽŃŃÎŽ | ŐĐžÏŐĄÏĐ”Đ¶Ï á Ń Î±áŸĐ”Đ±Ö Őș | ĐÏ áĐ” а |
| ĐŃŃáŃŐ¶ŃŃŃ ááŻáá§Đ”áŠÎ”ηα Đ”áșĐŸŐ¶ÎżŃ | Ô”ŐŐ” ŐœÖ á„ | Đ ĐŸáΔ áΔÖΞÖĐ°Ń | ĐŐá©ĐŸ ĐČŃ |